Blog /

Faits saillants de la mission inaugurale de la Chambre de commerce sur l’intelligence artificielle à New York.

Faits saillants de la mission inaugurale de la Chambre de commerce sur l’intelligence artificielle à New York.

Pendant deux jours en septembre 2024, les participants ont étudié l’avenir de l’IA et son rôle dans les relations plus générales entre les États-Unis et le Canada.

17 janvier 2025

L’intelligence artificielle sera sans doute l’un des principaux sujets de discussion lors du sommet du G7 de mai 2025. À l’approche de la présidence canadienne du G7, la Chambre de commerce du Canada, en partenariat avec le Consulat général du Canada aux États-Unis à New York, a organisé une mission spéciale réunissant divers intervenants américains et canadiens du domaine de l’IA. Pendant deux jours en septembre 2024, les participants ont étudié l’avenir de l’IA et son rôle dans les relations plus générales entre les États-Unis et le Canada. Plus de 40 chefs d’entreprise canadiens se sont joints à la délégation de la Chambre de commerce du Canada.

Cette mission menée par le milieu des affaires a mis en évidence l’importance de placer l’IA au premier plan de toutes les discussions politiques dans toutes les juridictions (régionales et mondiales). Qu’il s’agisse de l’adoption par les entreprises, de la confiance à son égard, de la productivité, de sécurité nationale, de main-d’œuvre, de cybersécurité ou de l’utilisation de l’énergie, toutes ces questions sont au cœur des préoccupations.

Photo de groupe à la fin d’une première journée réussie et enrichissante!


Jour 1


La mission a débuté dans l’un des bureaux d’Amazon au centre-ville, avec vue sur l’Empire State Building.


La première journée a débuté par un accueil chaleureux de la part d’Aissata Camara, commissaire adjointe aux affaires internationales du bureau du maire de New York.

Jour 1 : Membres de l’#équipedelaChambre (de gauche à droite) : Ulrike Bahr-Gedalia, Catherine Fortin LeFaivre, et Gaphel Kongtsa.
Jour 1 : (De gauche à droite) Ulrike Bahr-Gedalia, Aissata Camara et Edward Mermelstein.

Le portrait de la politique technologique des États-Unis

Le potentiel des Le potentiel des partenariats en matière d’IA en Amérique du Nord en matière d’IA en Amérique du Nord

Jour 1 : Table ronde avec (de gauche à droite) la modératrice Yana Lukasheh, Bill Syrros, Liz Culley-Sullo et Parker Sheedy.

Saisir l’occasion que représente le G7 pour élaborer une politique de pointe en matière d’IA au Canada, avec en toile de fond l’ACEUM 2026

Jour 1 : Table ronde avec (de gauche à droite) le modérateur Scott Bradley, Xiaomeng Lu, Colin Eide, Marc- Étienne Ouimette et Kevin Allison.

M. Allison a observé au cours de la table ronde qu’à mesure que l’ère de l’engouement pour « l’IA tous azimuts » s’estompe, des conversations plus pragmatiques voient le jour. « Le débat dépasse la science-fiction, et c’est une bonne chose », a déclaré M. Allison. « Les gouvernements continuent de progresser dans la gestion des risques et prennent plus au sérieux le dossier de l’adoption de l’IA. Le Canada a une occasion exceptionnelle de faire avancer le débat au cours de sa présidence du G7. »

Collaboration entre les États-Unis et le Canada pour le développement et la gestion d’outils à la convergence de l’informatique de pointe, de l’IA et de la biotechnologie

La dernière séance de la journée a été consacrée à une présentation de Chandresh Harjivan, conseiller spécial du président (Maison Blanche), chargé de la préparation et de la réponse nationales aux menaces biologiques.

Jour 2


Le discours sur l’IA en Amérique du Nord : d’hier à aujourd’hui et d’aujourd’hui à demain

Jour 2 : Conversation avec (de gauche à droite) la modératrice Catherine Fortin LeFaivre, Murad Hemmadi et Krystal Hu.

Comprendre la dynamique humaine de l’adoption de l’IA par la main-d’œuvre

La journée s’est poursuivie par une séance d’information et de questions-réponses avec Tom Clark, consul général à New York, et le personnel du consulat, suivie d’une table ronde réunissant Stephanie Bell, directrice des programmes et de la recherche, Partnership on AI (PAI); Gabe Batstone, PDG, Contextere; et la modératrice Ulrike Bahr-Gedalia, directrice principale de l’économie numérique, de la technologie et de l’innovation, Chambre de commerce du Canada.

Jour 2 : Séance d’information et de questions-réponses avec Tom Clark, consul général, et le personnel du consulat.
Jour 2 : Table ronde avec (de gauche à droite) la modératrice Ulrike Bahr-Gedalia, Gabe Batstone et Stephanie Bell.

Jour 2 : Table ronde avec (de gauche à droite) la modératrice Christine Guyot, Aila Yamanaka, Alex Foard et Kai Feder.

L’IA au service de la croissance économique dans la perspective de la présidence canadienne du G7

L’après-midi, une séance publique a eu lieu au Consulat général, avec des discours d’ouverture de Tom Clark, Candace Laing, présidente et chef de la direction de la Chambre de commerce du Canada, Edward Mermelstein, commissaire aux affaires internationales de la ville de New York, et David Brulotte, délégué général du Québec à New York.

Jour 2 : Tom Clark prononce son discours d’ouverture dans le cadre de la séance publique de l’après-midi.
Jour 2 : Candace Laing prononce son discours d’ouverture dans le cadre de la séance publique de l’après-midi.
Jour 2 : Table ronde avec (de gauche à droite) le modérateur Kris Reyes, Laura McGee, l’honorable David Lametti et M. Joseph Yun.

Saisir l’occasion qui se présente à nous en 2025

Les discussions menées au cours de cette mission de deux jours ont mis en évidence la nécessité pour le gouvernement fédéral de réfléchir longuement à la manière dont le Canada peut tirer parti de sa présidence du G7 en 2025 pour stimuler la croissance économique et la productivité grâce à une plus grande adoption de l’IA par les entreprises.

Les représentants du gouvernement décrivent souvent le Canada comme un leader mondial en matière d’IA, mais il serait plus juste de dire que le Canada est un leader mondial en matière de recherche sur l’IA et un retardataire en matière d’adoption de l’IA.

Compte tenu de la situation d’urgence dans laquelle se trouve le Canada en matière de productivité, comme l’a indiqué l’an dernier la première sous-gouverneure de la Banque du Canada, il est impératif, sur le plan politique, de donner la priorité aux facteurs qui favorisent la productivité, comme l’IA. Des rapports récents montrent le potentiel de l’IA : Accenture prévoit que d’ici 2030, l’IAg pourrait stimuler la productivité du travail au Canada de 8 % et générer 180 milliards de dollars par an en avantages pour la productivité, tandis que le rapport 2024 du Laboratoire de données sur les entreprises a révélé que l’IAg pourrait faire croître la productivité du Canada de 1 à 6 % au cours de la prochaine décennie, en fonction du taux d’adoption.

Ce printemps, alors que le monde a les yeux rivés sur le Canada, le gouvernement fédéral peut montrer qu’il prend des mesures significatives pour tirer parti de notre expertise en matière d’IA et propulser la productivité du Canada en proposant des mesures spécifiques et ciblées qui permettront une plus grande adoption de l’IA par les entreprises.

Jour 2 : (De gauche à droite) Catherine Fortin LeFaivre, Chandresh Harjivan et Patrick Gill (directeur principal, Opérations et partenariats, Chambre de commerce du Canada) lors de la réception du soir.
Jour 2 : Photo de groupe lors de la réception en soirée.

Merci aux commanditaires de la mission :


OR



Argent



BRONZE


Share this